On vous embarque à la découverte de SYT Technologies et Aero Surveillance, deux entreprises qui ont choisi le Technopôle Pégase pour accélérer leur développement.
Une situation idéale
L’une conçoit et fabrique des systèmes de vision longue portée innovants, l’autre développe des solutions de surveillance aérienne avancée.
Des activités en parfaite cohérence avec le Technopôle Pegase qu’elles se félicitent d’avoir rejoint. SYT Technologies, fondée en 2006 par Franck Taton et Mehmet Yilmaz, fournit ses solutions de vision optronique pour la défense, l’industrie, le maritime et la surveillance aux frontières, vient du Languedoc, où elle avait acquis un bâtiment sur l’aéroport de Nîmes Garons pour l’usinage et la fabrication, tandis que le bureau d’étude était implanté à Caissargues. « Proches du cluster, on a profité de la fusion pour déménager sur un site unique, qui nous permet d’être plus dynamique », souligne Vincent Baccam, directeur commercial. Accompagnée dans son implantation sur le Technopole Pégase par Vaucluse Provence Attractivité, SYT Technologies y développe des technologies dites sensibles avec lesquelles elle fait concurrence à de gros acteurs du secteur.
Fondée en 2013 au Castellet dans le Var, Aerosurveillance est arrivée sur le Technopole Pégase en octobre 2016. « On a trouvé une combinaison de facteurs favorables », explique Philippe Roy, président : des locaux mieux agencés, avec un hangar permettant l’accès aux sites de démonstration, sur un aéroport proactif proposant des zones de vol pour les tests et démonstrations.
« En-dehors de l’attractivité, on profite de la situation stratégique, sur les axes aériens et TGV. On n’a pas de mal à recruter nos ingénieurs ! », sourit Philippe Roy, président d’Aerosurveillance, fondée en 2013 au Castellet dans le Var. L’entreprise, qui se considère « encore comme une start-up », emploie une dizaine de personnes sur le site vauclusien où elle s’est installée fin 2016, et envisage encore 7 à 8 embauches d’ici la fin de l’année, avec l’aide de VPA, pour contribuer à « rattraper le retard de la France en matière de drones ». Les demandes affluent, notamment en provenance d’Amérique du Sud pour ces drones made in Vaucluse.